• Son nom est l'amour mais l'amour est sans nom. Elle pulse, comme une étoile qui doit mourir, charriant ses dernières lumières aux yeux des batailles.

    Elle a montré ses ombres comme j'ai caché mes hontes, son univers, mon endroit.

    Elle a laissé reposer les paroles sous la cendre, des paroles tellement ardentes que la peau m'en brûle encore. Mon cœur n'en finit plus de se battre contre cet amour qu'elle me veut brandir. Et mon sexe et son sexe et ce lien qui unit nos cœurs perdurent entre eux et nous apaisent, enfin !

    Enfin.

    Silence et belle mort.

    Trop humaine.



    Personne ne doit savoir.


     


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  • Je couche [mes amours]

    je souffle,

    je vibre

     

    je voile à peine [les dits,]

    les rouges verticales,

    les trucs au ventre.

     

    Dur,

    sortir

    du temps

    dès lors,

     

    dur,

    séparer l[']une

    me parle

    à peine

    [ ]

    [.]

     

    [,]

    [¦]

     

     

    [']

    ["]

     

    [°]

    [o]

     

     

    [i]

    [I]

    [l]

    [|]

    -¦-


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  • Les symphonies magnifiques,

    tout existe.

     

    j'étais là

     

    les symphonies magnifiques,

    ma main dans ta main

     

    dans la tienne, peut-être

    ta douceur sur mon corps

     

    je t'ai trouvé

     

    la maîtrise nécessaire,

    le don de l'accomplissement

     

    je t'ai trouvé

     

    univers

    dont je soupçonnais l'existence

     

    à l'orée des merveilles,

    je t'ai trouvé.

     

     

    [La perle bleue a scintillé.]


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