• Comme moi

    Je me perds, dans ces alentours, dans ce siège que je mène à moi-même, dans cette vi((l)l)e qui ne veut pas de moi.

     

    A nouveau des rêves. Nocturnes. Je ne me souviens plus de rien. Des bribes. Ma tête est pleine. Ma tête ne veut pas me laisser entrer. Je frappe à la porte, gaspille de l'encre. Mes yeux. Mon papier. La matière inerte. Je reste assez de temps.

     

    La dame est en colère contre le monde. Comme moi. Je ne resterai jamais immobile à sa misère.

  • Commentaires

    1
    Dimanche 12 Mars 2006 à 15:30
    même si on ne s'en souvient
    pas de ses rêves...il faut en rêver
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