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Plus personne
Le grand café de la rue policière,
la lune tendue comme un arc
[où] dans une fronde qu'elle se pose,
à côté du Mozart
sur la courbe d'une pierre
une lèvre près de la mienne
ce regard dans le mien :
- Tu veux faire l'amour?
C'est tellement simple.
naturel, semble-t-il
comme la pleine lune,
un vertige,
à côté de la passerelle,
le plexus se serre.
C'est un endroit dangereux à ces heures.
Sur la rue, les pavés, après la pluie il n'y a plus personne.
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Commentaires
Au vil Villon…
Une flaque de soi, un râle post-mortem C’est tout ce qu’il resta de ce palot totem Ecroulé et exsangue sans un requiem…
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joli... :) a bientot !!!!