• Prince immobile

    Les bras tendus pour la recevoir,
    la mer, à la chevelure fine,
    à l'onde si mince qu'elle infime,

    la mer s'étend, elle soupire d'aise,
    elle s'en va, elle se glisse jusqu'au nouveau contient.

    La mer me berce,
    me noie lentement,
    elle me fait son prince immobile.

    Les mâts sont des pieux tendus vers le ciel.

    Au dessus des coques, il y a l' océan des merveilles.


  • Commentaires

    1
    Mardi 29 Novembre 2005 à 11:35
    infinitude
    entrevue dans tes mots...Je voulais te demander si je peux mettre la photo que tu as retouchée de moi et elav dans un de mes albums sur mon blog ?...ça me ferait plaisir que tu y sois en quelque sorte présent...
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    2
    Mardi 29 Novembre 2005 à 21:51
    Témoin...
    de ma part... ?
    3
    Vendredi 2 Décembre 2005 à 11:41
    la mer
    que l'on voit danser... bise ici
    4
    Samedi 3 Décembre 2005 à 14:31
    Tout en douceur...
    J'aime beaucoup, pour une fois que je m'attarde sur ce genre de poème... =)
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