• Sur ma tête

    Il y a la poésie sur ma tête. Je la laisse pleuvoir. Je laisse vivre les univers si proches.

    Je n'écris pas tout. Je profite de profiter. Dommage, peut-être. Dommage, peut-être pas.

    Ce dont j'ai besoin : laisser la conscience intérieure écouter ce que produit chacun de mes pas dans l'ossature, les tensions musculaires, les torsions, le rapport avec le sol et la terre,

    le rapport avec Dieu en moi,

    ce que j'aime grandir.

    Je me balade les oreilles sourdes pour mieux percevoir. Ourdir. Me couper du monde pour y revenir à travers l'autre.


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