• Il y a des héritages qui nous semblent pesant parceque nous les acceptons. Tacitement. Mais au fond, c'est normal. Il semble. Elle semble. Le karma peut-être. Des parties de soi qui ne vont pas bien ensemble. Il semble. Elle semble.

    Il y a des héritages, des brins de sang, des momies subtiles qui nous habillent derrière, dedans.

    Le monde n'est à l'épée ni à personne. C'est un leurre. La pierre en souffre encore.


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  • J'ai lu des trucs qui parlent du trafic motorisé, autorisé, des galaxies, du trafic de trafics, des choses au noir, au gris, des couleurs un peu glauques de la colonie Blogg-glandes</personname /></personname />.

    C'est Conteurs vs Compteurs.

    Des choses pareilles !

    Faux (!) de tout pour faire un monde, fût-il virtuel... des stars dans la toile filante, des starlettes terre-à-terre, des terres d'asile, des asiles de fous. C'est l'internat d'Internet... dont NOUS avons la clé.

    Y a des zappeurs, des sapeurs, des incendiaires, des pyromanes. Des cons, des connes. Plus ou moins autant que dans la réalité. De</personname /></personname /> toute façon, le virtuel, c'en est une, de réalité, sauf qu'elle est... virtuelle !

    [virtuel, adj. (du latin virtus, force) :  qui n'est qu'en puissance; potentiel, possible.]

    Alors, comme les fantasmes de crimes, de sexe, de célébrité, comme tous ces fantasmes ne peuvent pas bien se mouvoir dans une autre réalité, nous (blo)glandons dans ces terres à rides. Ben ouais, c'est la trentaine pour beaucoup ! Pour moi aussi....

    Pourtant, ici, je fixe les conteurs. Certains rixent les compteurs. C'est bien. Pour tout vous dire, je suis content que tout soit exactement comme tout doit être. Je me défile ? Ouais ! Pasque moi, ici, j'y viens justement loin du trafic des compteurs. Moi, j'aime bien marcher peinard et zyeuter alentours. Y a du bois mort dans la forêt. Y</personname /></personname /> a du bois frais. Y a des gros arbres, et des jeunes pousses, y a des loups, des lapins, des oiseaux chanteurs. Y a tout. C'est bloggland ! C'est UNE réalité.

    Je vous souhaite une belle promenade. Voyez ce que vous voulez.

    Moi, je regarde les conteurs...


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  • Ce matin à 10h17 un avion est passé devant le soleil.


     


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  • Je plonge. Je saute. Je m'en vais. Je m'envole. Je revis. Chaque. Point. C'est un univers plus vaste que le vaste, plus coloré que la couleur, plus pur que tous nos cœurs réunis.

    La grâce. Ces</personname /> endroits, ces refuges qui existent dans chaque cellule. C'est aussi simple. Vivant.

    J'ai aimé la sagesse, ce qui sait chacun. Les bords de mer qui naissent la marée.

    Du sel.
    L'amour.

    Tout se fond. Le meilleur, c'est un. La joie vaut

    la peine. C'est</personname /> un. L'autre et moi, c'est un. La peine s'éteint.

    Alors, la vie revit, re-ronronne avec cette douceur d'un chat qui cajole. Avec cette innocence animale, cet œil qui rit de la joie du bonheur. Toute cette lumière. Toute cette lumière !

    Je ferme mes yeux. Je souhaite mieux voir. Alors, c'est de l'univers nouveau. Des galaxies, de l'étoile dans chaque sens, tout qui brille. Cœur, œil, soleil, tous unis dans cet amour, dans cette chaleur que nous retourne chaque humanité.

    Mais j'ai eu peur. Les plexus, les cœurs. Des trous gros comme ça... Alors, au lieu de fuir, d'enfuir, d'enfouir, j'ai cerné la douleur et je l'ai vécu. Chaque moment s'est déconstruit. Chaque molécule de aïe, de l'étouffement de chaque cri, de chaque silence en somme, je l'ai nourrie d'oxygène, je l'ai gonflée et je l'ai lancée les trajectoires-catapultes. Le soleil accepte. Le soleil mange le mal.


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  • Je me perds, dans ces alentours, dans ce siège que je mène à moi-même, dans cette vi((l)l)e qui ne veut pas de moi.

     

    A nouveau des rêves. Nocturnes. Je ne me souviens plus de rien. Des bribes. Ma tête est pleine. Ma tête ne veut pas me laisser entrer. Je frappe à la porte, gaspille de l'encre. Mes yeux. Mon papier. La matière inerte. Je reste assez de temps.

     

    La dame est en colère contre le monde. Comme moi. Je ne resterai jamais immobile à sa misère.

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